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Freaksville Records
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Night Music, Love Songs

by Benjamin Schoos

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1.
I Love You (Dodi El Sherbini/Benjamin Schoos) Sur le walk of fame Le visage blême Tu dis I love you Sur le walk of fame Que la mort parsème Love tu pleures tout à coup Tu dis que tu rêves d’être Le barème De mes i love you De la vie à deux Ton poème Love est tellement déjà vu Love, love Love Souviens-toi quand même Que l’amour suprême Eh non, c’est pas qu’i love you Sur le walk of fame On est tous les mêmes Love il y a peu d’happy few Sur le walk of fame On est tous les mêmes Juste des péripéties Sur le walk of fame On est tous les mêmes On ne s’est jamais rien promis Love, love Love Love Sur le walk of fame On est tous les mêmes Juste des superficies Sur le walk of fame On est tous les mêmes L’amour n’est pas notre ami
2.
UNE FILLE EN OR (Jacques Duvall/Benjamin Schoos) C'est une pépite Oui, cette petite C'est une perle rare C'est une merveille Un rayon d' soleil Venu de nulle part ref.: Une fille en or Une fille en or J'ai trouvé un trésor Une fille en or Une fille en or Comme un rêve qui prend corps Beauté royale Poussière d'étoile Aux reflets vermeils La chance a mis Dans mon tamis Une fleur sans pareille refrain J'ai cherché longtemps Ces feux éclatants Enfouis sous la fange Sublime cadeau Mon Eldorado C'est l'amour d'un ange refrain
3.
UN PARFUM DE NOSTALGIE (Jacques Duvall/Benjamin Schoos) Je respire Un parfum de nostalgie Venu je ne sais d'où Un parfum de nostalgie Un peu triste mais très doux Je respire Un parfum comme celui Que vous portiez lorsque vous M'avez dit ' mon ami C'est fini entre nous' Je respire Un parfum de nostalgie Venu je ne sais d'où Un parfum de nostalgie Un peu triste mais très doux Je soupire Il ne subsiste aujourd'hui Hélas, plus rien de nous Qu'un parfum de nostalgie Un parfum qui rend fou Un peu triste mais très doux Un parfum qui me rend fou
4.
LE MAITRE DU MONDE (Jacques Duvall/Benjamin Schoos) Je suis poli Et bien élevé J'ai un joli Petit C.V. Et je postule Pour un travail Pas particul- ièrement duraille Je veux être Le maître Le maître du monde Et je serai odieux Bien pire que Dieu Bien qu'un petit peu Moins vieux Je veux être Le maître Le maître du monde Et le plus effroyable De tous les diables Sera moins préjudiciable J'peux faire le job Je règnerai Sur tout le globe Tel Gilles de Rais Faible, jaloux Et sanguinaire Sur chacun d'vous J'passerai mes nerfs Je veux être Le maître Le maître du monde Et je serai odieux Bien pire que Dieu Bien qu'un petit peu Moins vieux Je veux être Le maître Le maître du monde Et le plus effroyable De tous les diables Sera moins préjudiciable
5.
LE GRAND PAQUEBOT VA SOMBRER (Jacques Duvall/Benjamin Schoos) Une ombre de bleu Sur mes paupières Il suffit de peu Parfois pour plaire Un coup d' crayon noir Autour des yeux Est-ce qu'ils vont y croire? Je prie l' Bon Dieu J'rajoute un peu d' rose Au creux des joues Doucement je m' compose Une gueule trop chou La bouche maquillée Je me fais de l'effet Au point de me voler Un baiser vite fait refrain: Le grand paquebot va sombrer Avant minuit Et moi, je vais virer de bord Le grand paquebot va sombrer Et ils ont dit Les femmes et les enfants d'abord Dans ma robe de bal Pauv' débutante J' m'en sors pas trop mal Un peu vieille tante Me dandinant sur Mes hauts talons Je deviens roulure Poule de salon La miraculeuse Transformation J'allume, enjôleuse Bien des passions Ce gars qui m' reluque C'est l' capitaine J' rajuste ma perruque Pourvu qu'elle tienne refrain: Le grand paquebot va sombrer Avant minuit Et moi, je vais virer de bord Le grand paquebot va sombrer Et ils ont dit Les femmes et les enfants d'abord
6.
N'ENLEVE PAS TOUT (Jacques Duvall/Benjamin Schoos) N'enlève pas tout Juste ton corsage Et tous mes suffrages Mais pas davantage N'enlève pas tout Juste la première manche De ta blouse blanche Mais laisse-moi la revanche Garde au moins Quelques fanfreluches Je veux qu' le ch'min Soit semé d'embûches Ravive-le Mon dernier scrupule Attise-le Ce feu qui me brûle Ne l'éteins pas surtout N'enlève pas tout Le fond de l'air est frais Et j'aime qu'un secret Demeure un secret N'enlève pas tout Miss, t'es un mystère Mais je n' veux pas faire Toute la lumière Garde pour moi Quelques bagatelles Dresse-moi Un barrage de dentelles Ravive-le Mon dernier scrupule Attise-le Ce feu qui me brûle Ne l'éteins pas surtout N'enlève pas tout J' te l' demande à g'noux J' t'adore cachée sous Force frous-frous N'enlève pas tout C'est la part de rêve Pas le costume d'Eve Qui me donne la fièvre
7.
CONDUCTEUR FANTÔME (Jacques Duvall/Benjamin Schoos) Des kilomètres d'autoroute Sans voir un autre véhicule A cette heure-ci je suis sans doute Le dernier chrétien qui circule A la radio comme il se doit Mauvaises nouvelles, mauvaises chansons Sont au programme et quant à moi Pour pas m'endormir je monte le son Quand soudain je suis ébloui Par deux faisceaux de lumière jaune Surgis du fin fond de la nuit Les phares d'un conducteur fantôme Frappé de stupeur, aveuglé Je n'échappe à la collision Que de justesse et le cinglé Me frôle à grands bruits de klaxon Ce kamikaze anonyme Je prie le diable pour qu'il se crashe Avant qu'il ne fasse une victime Mais tout-à-coup dans un flash J'aperçois un monstre d'acier Un camion ou un mobile home J'ai à peine le temps d'éviter Un autre conducteur fantôme Il semble que le no man's land Que je parcours soit le royaume Des aveugles et je me demande Combien de conducteurs fantômes Combien de chauffards se dirigent A contresens dans cette zone Si c'était moi? Mon sang se fige Si c'était moi le conducteur fantôme?

about

English:

Belgian-born Francophile Benjamin Schoos doesn't sleep much. Instead he spends his nights thumbing through novels in front of the black-and-white flicker of old science-fiction movies, swimming in the stillness and hush of a world outside momentarily calm. It was in this “nocturnal ambience”, as he calls it, that his latest selection of piano-led Parisian pop songs, each one like a slow kiss amid the madness of Belleville patisserie, came to him. 'Night Music, Love Songs', is Schoos' Third solo album, and the follow-up to 2014's remarkable 'Beau Futur' – an electronic fantasia of stories of stuntmen, astronauts and sun-soaked Italian villas. This latest charge into haunting synths and melodies that glisten and waver like street lights in the Seine strips back his sound of old to bare, affecting essentials – a lilting listen full of warm, misty-eyed romance that questions what it is to love someone. “It's a very particular feeling...” explains Schoos. “One that can move and shake you as much as it can make you suffer.”

“Both women and the night are muses of this album,” says the one-time Eurovision Song Contest representative for Belgium, but that's not where his inspiration ends. The glacial minimalism of Erik Satie influences parts of 'Night Songs, Love Music'; the pre- and post-war French chanson of Charles Trenet and Henri Salvador elsewhere. “Soft jazz and sunshine pop” were other factors in its making but one record in particular convinced him to forgo some of the wild-eyed stories of his previous records – 2012's 'China Man vs China Girl' was about a broken-down wrestler, based on an action figure his son owned – to confront the twin highs and lows of love. “I really love the Lewis album 'L’amour.' It convinced me you could make a record on this theme and evoke a dream in Paris.”

That dream takes Schoos – who memorably collaborated with Laetitia Sadier on the stirring 'Je Ne Vois Que Vous', earning him a place on the BBC 6 Music A-list – here through old Elka drum machine beats ('Un Fille En Or') and lush saxophone solos ('I Love You'). It takes him on 'Le Matire Du Monde' to a smoggy den of meanies (“I've always loved songs about bastards,” he says) and on 'Le Grand Paquebot Va Sombrer', translated in English to 'The Big Ship Is About To Sink', to a gorgeous moment of serious strangeness. “That track is about a guy who disguises himself as a woman to save his own skin on the Titanic, as women and children are the first people to be saved in case of emergency,” Schoos explains. “It starts as a transgender song and then we discover the fraud.”

Written and recorded in twilight hours at Schoos' studio – “a cabinet of curiosities,” he describes it, full of dusty string simulators and old echo and reverb tape recorders – ''Night Music, Love Songs'' has an impulsive heartbeat befitting a man who once did a journey in the footsteps of the famous Arthur Rimbaud, simply because he loved the Marseille man's surrealist poetry. “I began with improvisations. I start the rhythm box and add an improvised instrumental melody on the piano,” recalls the songwriter. “Once this basis is stable, I finally build my songs. I loved the minimalist sound my strange tools were producing. Finally, everything took shape once I added the lyrics – the last step in songwriting as I always favour melody.”

“It's an intimate album,” admits Schoos – maybe his most intimate yet. “It mixes delicate flavours of nostalgia with intense sentimental reverie... Nothing would please me more than people listening to this record while driving down a dark road around 2am. My previous albums dreamed about three-dimensional pop and constantly broke the tempo within the record. This one is more personal and belongs to the slow songs album tradition. I'm very proud of it. My songwriting and I have grown in this adventure.” It's an adventure, from the opening blooms of piano on its opening track, you'll quickly find yourself swept up in. “L'amour est la poesie des sens,” famously said the 19th century novelist Honoré de Balzac – “love is the poetry of the senses.” Let the stirring and seductive 'Night Music, Love Songs' ignite your senses this winter – you won't regret it.

French:

Benjamin Schoos. Il y a chez cet homme raisonné une folie qui s'ignore. Parlez-lui du nom de scène qui l’a fait connaître au grand public (Miam Monster Miam, 7 albums à son actif), lui répond par un changement d’identité et une carrière en solo. Dites-lui qu’il s’est assagi et le voilà qui lance un projet instrumental kraut-psych avec ses Loved Drones. Quant au virage chanson française, perceptible depuis China Man Vs China Girl (2012), il est amorcé alors que l’époque est à l’autotune, au rap Youtube et autres combats de rue où les chanteurs romantiques n’ont plus leur place. Il y a donc dans la discographie de ce Schoos de quoi désarçonner le plus aguerri des cavaliers. C’est comment qu’on schizo-freine ?
Parce que comme le disait le Cardinal de Retz « on ne sort de l’ambiguïté qu’à son détriment », Benjamin fonce tout Schoos et cultive l’amour des contraires là où tant d’autres sortent des disques contrariés. Fin d’un triptyque débuté en 2012 avec China Man Vs China Girl (2012) et Beau Futur (2014), Night Music, Love Songs possède au moins le mérite de la clarté : tout est dit dans le titre. Ecrit avec deux compagnons de solitude (Jacques Duvall et Dodi El Sherbini) et enregistré la nuit au studio Freaksville autour d’un piano, d’un orgue Hammond et d’une boite à rythme Elka Drummer One (celle utilisée par François de Roubaix), ce troisième essai en solo lève définitivement le voile sur les dessous chic du compositeur belge : musique nocturne et chansons d’amour en format cinémascope. Dans la veine des chansons lentes (on dit slow dans la langue de Joe Jackson) qui balisent depuis 50 ans l’histoire de la musique anglo-saxonne. 


Sans masque, ni maquillage, les sept morceaux qui composent Night Music, Love Songs sonnent comme une réponse très premier degré au cynisme ambiant, et font de cet étrange objet du désir un parfait contrepoint, encore une fois, à l’époque. Gimmicks synthétiques évoquant la bande original d’Emmanuelle, arrangements dépouillés rappelant en filigrane le Sébastien Tellier sobre des débuts, costume de Frank Sinatra entonnant Un inconnu dans la nuit en franco-belge dans le texte ; on tient assurément un french crooner revisitant l’histoire de France, et dans laquelle quelques héros à voix perchées (Christophe, Polnareff ) ont su mieux que personne faire trembler la France d’avant les quotas.
« Sur le walk of fame, on est tous les mêmes » chante Schoos sur I love you, piste d’ouverture à écouter à l’horizontale, saxophone coincé dans l’entrejambe. Ce qui est évidemment vrai est aussi faux : personne ne ressemble à Benjamin Schoos. Sa nuit à lui, au moins, ne ment pas. On tient peut-être le disque de chevet d’une discographie à dormir debout.

credits

released January 29, 2016

"The grand gestures of Gainsbourg and Vannier loom large... these nocturnal romances still confirm French as the language of the impossibly glamorous."
Uncut 8/10

"Belgian-born Schoos embraces hushed reflection. Just the right time. Deep, dark, affecting"
MOJO ***

"Freaky chic from the Belgian Balladeer" **** Record Collector

"His tracks paint the most vivid of pictures using words, once you’ve translated them of course, and sings with the same truth and valour about the romance in both life, love and death"
Gigsoup ****

"Prolifique et romantique, le songwriter belge publie un nouvel album bizarroîde"
Les Inrockuptibles ****

"Le Belge multicarte revient avec «Night Music, Love Songs», album pop classy, entre Satie et Henri Salvador." Libération

"Son album Night Music, Love Songs est "une rêverie nocturne et sentimentale." L'express

"Ambiance Christophienne, fleur à la boutonnière, yeux faits, fauteuils en velours et plus personne dans le salon du bateau fantôme". Technikart ****

"..en sept titres majestueux, on se rend à l'évidence: avec son piano blanc, sa boite à rythmes et ses vieilles machines, il parvient à émouvoir, d'abord, puis à instaurer une ambiance racée sans discontinuer, verbe agile à l'appui, ensuite."
Muzzart

"Benjamin Schoos s’est littéralement métamorphosé. En artiste accompli, en musicien sobre, toujours exigeant. En grand ordonnateur d’une musique adulte, sérieuse, pénétrante mais encore rafraîchissante. Comme un dernier cocktail sur le pont du navire avant qu’il ne tutoie je ne sais quel glacier imminent. Qu’il ne disparaisse et fasse place à un autre chef-d’œuvre. Car celui-là en est un."
Shebam Blog Pop Wizz

"Principalement synthétiques, ces chansons romantiques et vespérales sont nées de l'amour du Wallon pour les claviers hors d'âge et les boîtes à rythmes vintage, et enrichies de quelques instruments discrets (flûte, orgue Hammond, violoncelle, bugle, trompette."
Magic rpm ****

"C’est son côté crooner sérieux et authentique que laisse parler ici Benjamin qui, sans difficulté, parvient à nous émouvoir."
Le Mad (Le Soir)

"En s’affranchissant de guitares, basses et batteries parfois un peu poussives, il laisse ainsi se sublimer d’elles-mêmes quelques magnifiques lignes de piano, plusieurs envolées de cordes et autres échappées belles de cuivres. C’est doux. Parfois un peu trouble. Mais c’est beau. Très beau, même."
Idoles Mag

"37 Minuten großes Nacht-Kino."
Sound and Image

"...Ces love songs crépusculaires et langoureuses, réunies dans un album bouleversant et sublime de bout en bout. De la très haute couture, Monsieur Schoos !"
Benzine Mag

"Un album court mais intense, aux confins de l’intimité et capable de nous faire passer par toutes les couleurs. Sept titres pour au moins mille émotions."
Branchesculture

"...Un disque de Crooning nocturne mise en mots par Jacques Duvall. Tender is The Night"
Focus Vif

"Un album mélodieux aux nuances délicates orchestrées de main de maître (du monde)."
La magicbox

"Il nous offre un album de Dandy du crépuscule au romantisme à la fois plastique et éthéré."
Metro

"On aimerait pouvoir vilipender Night Music, Love Songs, mais la vérité nous oblige à confier qu’on fredonne ces airs qui tournent au ralenti et ces paroles universelles sur l’amour, l’absence, le doute, l’introspection. Si certains risquent au nom d’un « bon goût » érigé en dogme de passer à côté de cet album, Benjamin Schoos (re)donne ses lettres de noblesse à la variété française." Sunburnsout.

"Sans TGV, mais en pensées, l’artiste emmène ses sentiments dans un motel chic et clinquant devant lequel les noms de Sébastien Tellier et Bertrand Burgalat clignotent en grand." *** Moustique


"Un piano romantiquissime à souhait, quelques instruments vintage (orgue Hammond, boîte à rythme Elka Drummer One,violoncelle,flûte ou saxo)enrichissent l’ambiance et cette impression que l’artiste sérésien se révèle plus sincère que jamais." *** La Libre


"Talvolta nostalgico, talvolta ironico, ma sempre molto raffinato, Schoos tocca i sentimenti più profondi dell’animo umano, facendo commuovere e sognare – filo conduttore la notte, ed è proprio di notte che andrebbe ascoltato:Io vi dico: fatelo. Mettetelo su in piena notte, rientrando a casa dopo una bella serata. Ne rimarrete piacevolmente sorpresi." www.rocklab.it

"Ci vuelo une bella penna, e bel talento, per entrare in quelle stanze. Benjamin ce l'hafatta, e ha socchiuso la porta perché tutti possano sbirciare le sue notti e i suoi amoir. 8/10" Blow UP magazine

"Génie de la musique, c’est sous son vrai nom que Benjamin Schoos décide de produire cet album aux rythmiques pop où se mélangent musique mélodieuse et poésie des mots." **** Nouvelle-Vague

"Night Music, Love Songs est unique, transcendant, surhumain autant que souterrain mais surtout c’est un chef d’oeuvre qui s’ignore. Et c’est sa force incontestable." Culture Remains

"Dans Conducteur Fantôme, un automobiliste réalise à la fin que c’est peut-être lui qui est à contresens. Cette métaphore peut aussi s’étendre à cet album qui navigue à contre-courant en parfaite connaissance de cause." Mes Critiques

"Il nous prouve s'il était encore nécessaire la musicophilie passionnée du personnage." Brain magazine



Photography : Pascal Schyns.
Sleeve design : Scalp.


Catalog number : FRVM74
Catalog number CD : FRVR55
Catalog number Vinyl LP : FRVR56
℗ Freaksville Publishing 2015
© Freaksville Publishing 2016
www.freaksvillerec.com

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Benjamin Schoos Belgium

When he's not running the brilliant Freaksville label, Benjamin Schoos is concentrating his efforts into producing lush, string-laden, melancholic and very French pop. The dandy crooner has produced, composed and arranged a whole host of songs for a variety of cult figures including Lio, Marie France, Chrissie Hynde, Alain Chamfort, Laetitia Sadier, Miqui Puig. ... more

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